Review
Reflections on Physical Activity and Health: What Should We Recommend?

https://doi.org/10.1016/j.cjca.2016.01.024Get rights and content

Abstract

The health benefits of regular physical activity are irrefutable; virtually everyone can benefit from being active. The evidence is overwhelming with risk reductions of at least 20%-30% for more than 25 chronic medical conditions and premature mortality. Even higher risk reductions (ie, ≥ 50%) are observed when objective measures of physical fitness are taken. International physical activity guidelines generally recommend 150 minutes per week of moderate- to vigorous-intensity physical activity. A critical review of the literature indicates that half of this volume of physical activity might lead to marked health benefits. There is compelling evidence to support health promotion strategies that emphasize that health benefits can be accrued at a lower volume and/or intensity of physical activity. Public health policies are needed that reduce the barriers to physical activity participation such that everyone can reap the benefits of physical activity. It is also important to highlight that sedentary time (particularly sitting time) carries independent health risks. The simple message of “move more and sit less” likely is more understandable by contemporary society and is formed on the basis of a strong body of evidence. For practitioners who work directly with clients, it is recommended that an individualized prescription (dosage) that takes into consideration the unique characteristics and needs of the client is provided. Physical activity or exercise promotion should not be done in isolation; it should be part of an integrated approach to enhance healthy lifestyle behaviours.

Résumé

Les bienfaits de la pratique régulière de l’activité physique sur la santé sont irréfutables. Pratiquement chacun peut tirer avantage de l’activité physique. Les données probantes ont clairement démontré une réduction des risques d’au moins 20 % à 30 % dans plus de 25 affections chroniques et de mortalité précoce. Une réduction des risques encore plus grande (c.-à-d. ≥ 50 %) est observée lorsque des mesures objectives de la forme physique sont prises. Les lignes directrices internationales en matière d’activité physique recommandent généralement 150 minutes par semaine d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse. Une revue primordiale de la littérature indique que la moitié de ce volume d’activité physique entraînerait des bienfaits marqués sur la santé. Des données probantes irréfutables soutiennent des stratégies de promotion de la santé qui insistent sur le fait que les bienfaits sur la santé peuvent être acquis à un volume et/ou une intensité plus faibles d’activité physique. Des politiques en matière de santé publique qui réduisent les obstacles à la participation à des activités physiques de manière à ce que chacun puisse tirer des avantages de l’activité physique sont nécessaires. Il est également important de souligner que le temps consacré à des activités sédentaires (particulièrement le temps passé en position assise) comporte des risques indépendants pour la santé. Le simple message « ASSOYEZ-VOUS MOINS (et bougez plus) » qui est probablement plus facile à comprendre pour la société contemporaine se fonde sur un corpus imposant de données probantes. Pour les praticiens qui travaillent directement auprès des clients, il est recommandé de remettre une ordonnance individuelle (« posologie ») qui prend en considération les caractéristiques et les besoins particuliers du client. La promotion de l’activité physique ou de l’exercice ne devrait pas être faite de manière isolée. Elle devrait faire partie d’une approche intégrée pour améliorer les comportements liés au mode de vie en matière de santé.

Cited by (0)

See editorial by Stone, pages 407-409 of this issue.

See page 502 for disclosure information.

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